Le service garanti ne suffit pas, nous devons nous engager pour le service minimum

Communiqué de Presse

En 2007, j’avais souligné, comme président de la Commission Spéciale sur la proposition de loi de continuité du service minimum, que le progrès que nous accomplissions était celui d’une meilleure information sur le service, d’une meilleure organisation, mais ne répondrait pas à l’attente simple et claire du service minimum.

Aujourd’hui, le niveau de perturbation imposé aux voyageurs démontre qu’une nouvelle étape doit être franchie, celle d’un véritable service minimum.

 

Hervé Mariton

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