“Il n’y a aucune fatalité à ce que la zone euro ne puisse pas continuer à rouler en peloton pour les étapes à venir: il faut pour cela que l’arrière du peloton muscle un peu ses jambes, grâce à des réformes et des ajustements structurels, et que l’avant du peloton n’imprime pas un rythme trop brutal, mais prenne plutôt le temps de s’alimenter un peu en relançant sa demande intérieure.”
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